Douala attend son deuxième pont sur le Wouri

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Douala attend son deuxième pont sur le Wouri pont-wouri3-150x150

Depuis plusieurs années, les populations de la ville de Douala connaissent un véritable calvaire quand il s’agi de traverser le pont du Wouri pour se rendre soit à Bonabéri, soit dans le sens inverse, ce qui pose un problème de construction d’un autre pont dans le but de faciliter les mouvements des personnes et des biens.

Dans son discours à la nation le 31 décembre 2012, le Président Paul Biya a une fois encore, fait l’annonce du lancement des travaux de construction du deuxième pont sur le Wouri courant février 2013.

Depuis quelques jours à Douala, des travaux de nivellement sont entrepris sur un côté du fleuve Wouri et déjà, les commentaires de coulisses font état des signes avant coureur de l’imminence du lancement des travaux confiés en fin de compte à une entreprise française.

Le mois de février 2013 sera-t-il un mois historique dans la vie des habitants de la cité capitale économique du Cameroun puisqu’on se souvent encore que pareille annonce avait été faite par le candidat Biya lors de sa campagne électorale en 2011. Ces promesses de l’  « Homme Lion » deviendront elles enfin réalité?

Attendons de voir.

Marcel BOUANGA

 

Le futur sénateur du Moungo, Jean Jules Ebonguè Ngoh

Le parti au pouvoir a investi ses candidats pour l’élection sénatoriale du 14 avril prochain. Dans cette liste, le Moungo s’en tire avec un seul candidat, alors que le Wouri se taille la part du lion.

Au regard du découpage politique actuel avec une prédominance du RDPC, il est évident que les candidats investis recevront le soutien des conseillers du RDPC à qui la hiérarchie du parti à recommandé la fidélité.

En attendant la nomination des autres 30 futurs sénateurs par le Président de la République, Jean Jules Ebonguè Ngoh, fils du Nlonako et enseignant de formation.

Président fondanteur du Regroupement des Enfants du Moungo en abrégé REGEMO, cet hommeLe futur sénateur du Moungo, Jean Jules Ebonguè Ngoh ebongue-jean-jules1 aura le privilège de parler au nom de son cher Moungo qu’il affectionne d’ailleurs tant.

Marcel Bouanga

Sénatoriales 2013 au Cameroun:le compte à rebours a commencé.

Sénatoriales 2013 au Cameroun:le compte à rebours a commencé. elecam-logo-300x169Le 14 avril prochain, une nouvelle page de l’histoire politique du Cameroun sera écrite en lettres d’or avec la tenue de l’élection des tous premiers sénateurs du pays.

Quatre partis ont investi la scène politique à l’occasion de ce scrutin. Il s’agit du RDPC, l’UNDP, le SDF et l’UDC. A la différence des autres élections dont les électeurs se recrutent parmi les populations inscrites sur les listes électorales,  ce scrutin a la particularité de ne concerner que les conseillers municipaux. Ces derniers auront la délicate responsabilité d’élire les nouveaux sénateurs.

Avec la configuration de la carte politique actuelle du pays, dans les localités où certains partis politiques ont la majorité des conseillers municipaux, l’élection des candidats investis par ces partis ne sera qu’une simple formalité.

 Marcel BOUANGA E.

LE CAMEROUN A-T-IL ENCORE LES MOYENS D’ORGANISER UNE COUPE D’AFRIQUE DES NATIONS AUJOURD’HUI ?

Voilà une question que se posent bien de millions de camerounais aujourd’hui. Une question qui, somme toute, trouve tout son LE CAMEROUN A-T-IL ENCORE LES MOYENS D’ORGANISER UNE COUPE D’AFRIQUE DES NATIONS AUJOURD’HUI ? reunification-150x150

intérêt, quand on passe en revue ces nombreux exploits individuels des camerounais évoluant dans des grands clubs de football du monde.

L’histoire nous rappelle cependant que, la première et unique coupe d’Afrique organisée en terre camerounaise remonte à 1972. C’était la 8ème édition de ce festival sportif continental. Grâce à cette organisation, le pays a pu doter chacune de ses deux principales métropoles d’un stade omnisports. Depuis lors, c’est un black-out total.  Aucune  candidature du Cameroun en vue de l’organisation d’une coupe d’Afrique des nations.

L’immobilisme des autorités en charge du sport au Cameroun donne le sentiment d’une absence d’ambition d’affirmation du Cameroun sur le plan mondial.  Une situation qui  porte un coût fatal sur la diplomatie du pays des lions indomptables,  le reléguant par là même, aux arrières postes et dans une situation où,  il est appelé à jouer ce rôle ingrat de spectateur.

LES INFRASTRUCTURES SPORTIVES
Les deux stades omnisports de Douala et de Yaoundé, héritages de la 8ème coupe d’Afrique des nations sont vieux de plus de 34 ans. Des ouvrages aujourd’hui presqu’abandonnés dans un délabrement semblables aux vestiges préhistoriques. Dans ce piteux état, ils ne peuvent plus abriter des compétitions dignes de ce nom tant de jour comme de nuit par faute d’éclairage, d’eau et de téléphone.

LES AUTRES INFRASTRUCTURES
_ Les routes
Les principales villes susceptibles d’abriter d’éventuelles poules de la CAN sont Douala, Yaoundé, Bafoussam et Garoua selon leur importance. 242 Km séparent Douala de Yaoundé par route. Couvrir cette distance exige environ 3 heures de routes. Ce qui complique la tâche ce sont les embouteillages observés tant à la sortie de Douala au lieu dit Texaco Aéroport jusqu’à Yassa. Le même phénomène est propre à Yaoundé au lieu dit Mvan aéroport où les agences de voyages ont été déportées. Ces désagréments pour être contournés exigent des voies de contournement pour entrer à Douala comme à Yaoundé sans trop d’encombre. Si le périmètre urbain de Yaoundé bénéficie aujourd’hui d’un confort incontestable de son parc routier, c’est tout le contraire dans la capitale économique Douala. Les routes sont dans un état de dégradation très prononcé. La route qui mène au stade de la réunification est complètement crevassée et y circuler relève d’un exploit héroïque.

_ Les infrastructures ferroviaires
Le chemin de fer part de la côte littorale à Douala pour terminer sa course dans l’Adamaoua. Il traverse le pays sur plus de 600 Km dans le sens sud nord. Ce moyen de locomotion facilite le brassage des populations du pays en même temps celles des pays voisins du Cameroun comme la Centrafrique, le Tchad, le Soudan voire le Nigéria.
_  Les structures d’accueil et d’hébergement
Aujourd’hui, le Cameroun possède des hôtels, des motels et autres structures d’hébergement tant dans les grandes villes que dans les périphéries pouvant accueillir un nombre important de délégations venues d’Afrique et du monde entier. Des grandes chaînes hôtelières sont représentées localement. Sur le plan de la qualité du personnel hôtelier, plusieurs centres de formation dans le secteur du tourisme, de la restauration et l’hébergement existent et ont formés des milliers de professionnels qui exercent déjà pour la plus part dans ces prestigieuses structures de la place qui jusqu’ici font la fierté du pays en la matière.
_ Les communications
La connexion au reste du monde ne souffrira d’aucune difficulté notoire compte tenu de l’existence sur place de plusieurs opérateurs de téléphonie capables de servir une variété infinie de produits et de services à la demande du consommateur. La Camtel avec ses deux centrales terriennes de Douala Bépanda et de Zamengoué non loin de Yaoundé établit la fiabilité et la stabilité des communications à travers tous les systèmes de retransmissions des ondes (radio, TV, téléphoniques aussi bien que par internet). Ce dont de nombreux opérateurs de téléphonie et d’Internet sont également capables de d’assurer avec brio.
_ La sécurité
Sur le plan de la sécurité des personnes et des biens, on peut, en dépit de quelques actes sporadiques observés çà et là dire que les forces du maintien de l’ordre parviennent à juguler les actes de banditisme urbain. De nombreuses sociétés de gardiennage ont aussi pignon sur rue pour renforcer la surveillance et la sécurité dans des sites privés pour la plus
part de temps.
_ Le public
Ce qu’il y a de plus spectaculaire au Cameroun c’est le caractère versatile de son public qui sait porter au triomphe quand les acteurs donnent des prestations satisfaisantes et se retourne contre les locaux quand ces derniers ne sont pas à la hauteur de ce que le public est en droit d’espérer, opérant sans fioriture une volt face et agir pour le compte des visiteurs huant les locaux considérés comme incapables. En somme, le public camerounais est fanatique du beau spectacle peut importe la provenance de celui qui le lui sert.
_ Le tourisme
Afrique en miniature, l’organisation d’un rendez-vous continental au Cameroun insufflera une bouffée d’oxygène au secteur touristique qui somnambule quelque peu au regard du manque notoire de promoteurs touristiques animés du soucis de vendre la destination Cameroun le tout facilité par un environnement juridique incitatif. Avec ses chutes de Nachtigal, les chutes d’Ekom Nkam, les lacs Manengouba, le centre climatique de Dshang, le Botanic Garden de Limbé, le parc de Waza, le Palais des Bamouns à Foumban, il faudrait reconnaître sans faire la fine bouche que le pays a de la matière à revendre aux visiteurs.
L’artisanat et l’art culinaire ne sont pas en reste pour la promotion culturelle camerounaise.
_ La population
Le caractère cosmopolite de la population camerounaise confère à ce pays une singularité propre à l’Afrique ; ce qui lui vaut le nom d’Afrique en miniature. Jeune à près de 70%, la population camerounaise dont le dynamisme déborde d’énergie et d’ingéniosité vaut aux pays de la sous région comme le Gabon et la Guinée Equatoriale, la présence non moins négligeable d’une communauté camerounaise dont l’esprit d’entreprise lui vaut quelque fois de petits désagréments dans ces pays là.

_ Les infrastructures portuaires et aéroportuaires
Le Cameroun dispose de 3 aéroports aux standards internationaux que sont : Douala, Yaoundé – Nsimalen et Garoua. Grâce à ces plates formes aéroportuaires, il est facile d’accueillir des flux de populations sans que cela ne puisse poser un problème des arrivées ou des départs des voyageurs et assurer un impeccable service en maîtrisant les flux de visiteurs.
_ Les structures hospitalières
Les deux principales villes à savoir Douala et Yaoundé disposent d’hôpitaux de références pendant qu’au niveau des arrondissements on trouve des districts de santé. Cette hiérarchisation d’institutions de santé démontre le souci des autorités de couvrir progressivement des populations en soins de santé. A côté de ces structures publiques, on compte d’innombrables cliniques privées qui sont l’expression d’un corps de santé enclin à l’initiative privée.

UN GRAND POTENTIEL A MOBILISER POUR UN CAMEROUN QUI GAGNE
Au regard des ressources disponibles et de nombreux atouts dont le pays regorge, il apparaît clair et sans équivoque que le pays des lions indomptables dispose d’un potentiel unique en son genre qui nécessite simplement une valorisation afin qu’il soit de nouveau à la hauteur
d’organiser une coupe d’Afrique des nations. Seule, la volonté politique devrait être mise à contribution. Nos décideurs doivent prendre l’engagement de soumettre la candidature du pays pour l’organisation d’une phase finale de coupe d’Afrique des nations en terre camerounaise. Ce sera une opportunité de doter le pays de nouvelles infrastructures routières, améliorer la qualité des prestations dans divers domaines de la vie et favoriser un flux financier important qui proviendrait des visiteurs prenant d’assaut le Cameroun afin de vivre en direct les différentes rencontres sportives. A cet égard, il est nécessaire de se débarrasser de l’illusion qu’une CAN au Cameroun est aujourd’hui impossible. Au contraire, son organisation permettra au pays de se refaire un visage nouveau se rendant plus attractif. Des milliers de visiteurs auront le privilège de s’intéresser au pays et par la même occasion, découvrir ce pays dans ses réalités profondes qui sont loin d’être ces clichés infamants de guerre et de famine que des télévisions étrangères diffusent sur le monde entier ternissant l’image de tout un continent et des millions d’individus qui en sont originaires. Le pari doit être gagné. C’est une cause noble, c’est une grande ambition tout au moins réalisable.

Marcel BOUANGA EPOH

L’affichage publicitaire prend du galon à Douala

L'affichage publicitaire prend du galon à Douala panneau-pub-300x237

Le visiteur qui débarque ces jours à Douala est impressionné par le nouveau décor. Les panneaux publicitaires de diverses formes et tailles occupent désormais l’espace urbain.

L’ingéniosité des opérateurs du secteur de la publicité traduite dans leur volonté d’innovation des supports, constitue une preuve à n’en point douter de l’ébulition de ce secteur d’activité.

Dans cette veine, l’annonceur n’a que l’embarras du choix face à l’offre de plus en plus variée et attractive.

Des simples panneaux longtemps existant, on est aujourd’hui passé aux écrans LED géants d’une part, aux caissons lumineux à affichage déroulant d’autre part, sans oublier les Lampub fixés directement sur les poteaux électriques.

Cette multiplicité de supports traduit la vitalité du secteur de la publicité au Cameroun; un secteur qu’il faudrait réorganiser et mieux structurer afin que, la cacophonie jusqu’ici observée connaisse une issue agréable.

Douala capitale des affaires est devenue, capitale de l’affichage publicitaire. A son actif, plus des 3/5 du nombre total des entreprises publicitaires du pays.

Au moment où le Chef de l’Etat Paul Biya annonce l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035, la réorganisation du secteur de la publicité devient plus qu’un impératif. Ce secteur devrait à sa manière, contribuer à l’émergence du pays en profitant également à tous les maillons de sa chaîne de production. Les promoteurs de ces entreprises qui ont toujours pour la plus part laissé sur le bas côté de la route, les chevilles ouvrières de la production doivent se résoudre à partager les fruit de la croissance.

Ramcel AGNAUOB

 

Le solaire peut-il se révéler comme une source d’énergie efficace face aux délestages intempestifs ?

Le solaire peut-il se révéler comme une source d’énergie efficace face aux délestages intempestifs ? panneau-solaire2-150x150

Lorsque l’on observe la régularité des coupures de courant ces derniers temps, on se pose bien la question de savoir si l’énergie solaire ne peut pas se révéler comme une source palliative aux désagréments du fournisseur actuel d’énergie électrique au Cameroun.

De l’avis des experts, le solaire présente encore des limites. Certes il est capable d’alimenter en éclairage, mais les recherches ne permettent pas encore son utilisation maximale sur le plan industriel.

Mais en attendant,  on peut encore bien se contenter de l’éclairage qu’il procure. C’est justement dans cette logique la Communauté Urbaine de Douala (CUD) s’est lancée en installant des lampadaires solaires sur le boulevard de la Liberté. Cette approche permettra à coup sûr, la réduction des factures d’électricité dans le cadre de l’éclairage public.

Une option somme toute louable, qui devrait faire tâche d’huile au sein des autres collectivités locales du pays et ce, pour le bonheur des populations. Des populations qui justement, aimeraient également se procurer ce type d’éclairage, mais dont l’acquisition n’est pas encore à la portée du camerounais moyen.

Marcel BOUANGA

LA NOUVELLE PERSPECTIVE: Bimensuel d’information Récépissé de déclaration N°071/RDJ/C16/BAPP du 03 septembre 2012 à Nkongsamba

chutes ekom nkam

LA NOUVELLE PERSPECTIVE: Bimensuel d'information Récépissé de déclaration N°071/RDJ/C16/BAPP du 03 septembre 2012 à Nkongsamba bem-buro5-261x300

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